Visite de Marie à Djibouti (du 27/02 au 06/03/10)
Les vacances de février ont été l'occasion de recevoir Marie, l'amie de Maximilien. Nous allons tous la chercher le 27 à l'aéroport. Arrivée donc le matin, tôt. Elle aura voyagé toute la nuit. Décollage le 26 à 11h00, arrivée 7 h00 plus tard.
Première impression (celle que nous avons tous): c'est chaud. Ben oui, on partait les pieds dans la neige et on arrive à peu près à 28°C. Le premier jour reste calme (on tient compte de la nuit passée dans l'avion) et on laisse à Max le plaisir de fair découvrir la ville. A commencer par un pet dej' à la 5 avec de délicieux jus de fruits pressés (Mangue, Papaye,..............).
La mer était très calme. Après la découverte de la mangrave (déjà vue sur ce blog),
pinic.
Puis sieste puis baignade (un peu fraiche pour nous mais bonne pour Marie qui est quand même Bretonne, vers 27°). Puis lever du camp.
On recharge le bateau.
Direction le lagon bleu, où on laisse le couple.
On revient tous les chercher le lendemain, on en profite pour y passer une journée de farniente.
Le lendemain, en route vers de nouvelles aventures. Avec Yayo, nous louons les services d'un guide/chauffeur avec un gros 4x4 land cruizer.
Après un peu de route dans des paysages désertiques, nous retrouvons le canyon.
Au bord, des Afars vendent des objets taillés dans la pierre ponce (on achète un téléphone prortable à Marie), et des pierres (obsidiennes, gypse...).
En chemin, on aperçoit des antilopes, il suffit de klaxonner pour qu'elles prennent la pose.
Et un arbre réputé millénaire: le dragonnier.
L'arrivée sur le lac Assal est toujours auusi magique. Ca commence par les sources chaudes.
On ne peut y mettre la main!
Ensuite baignade à flotaison maximum.
En route vers la région volcanique, nous passons à côté de toukouls Afars.
On déjeune au Goubet. Marie & Max vont visiter la passe aux requins.
Nous repartons après le picnic, dans l'étrange région volcanique.
Un trou dans le sol expulse un air brûlant.
Charles-Alexis découvre un crâne de vache desséché et blanchi par le soleil.
A cheval sur 2 plaques, le pied droit en Afrique, le gauche en sur la plaque arabique.
Nous voyons aussi des ponts de lave et des tunnels naturels qui se ramifient sous le sol.
Djibouti, c'est à gauche (à droite on irait à Tadjourah). Sur le chemin du retour , nous passons à Balbalah.
Le jeudi, journée au calme à Korh Ambado. Y'a plein d'ados.
Le soir nous allons dîner à The Paillote, où l'on mange du poisson yéménite.
Marie a chaud.
Première impression (celle que nous avons tous): c'est chaud. Ben oui, on partait les pieds dans la neige et on arrive à peu près à 28°C. Le premier jour reste calme (on tient compte de la nuit passée dans l'avion) et on laisse à Max le plaisir de fair découvrir la ville. A commencer par un pet dej' à la 5 avec de délicieux jus de fruits pressés (Mangue, Papaye,..............).
Le 2ème jour: départ aux îles. Là encore on laisse Max se la péter un peu. Direction Maskali et Mousha, la plage des palétuviers.
Le matin en partant, on demande à Marie de descendre avec la coubailla. "la quoi?" nous répond-elle. Eh, oui, ici, il n'y a pas de glacière, mais des coubaillas.
Le matin en partant, on demande à Marie de descendre avec la coubailla. "la quoi?" nous répond-elle. Eh, oui, ici, il n'y a pas de glacière, mais des coubaillas.
La mer était très calme. Après la découverte de la mangrave (déjà vue sur ce blog),
pinic.
Puis sieste puis baignade (un peu fraiche pour nous mais bonne pour Marie qui est quand même Bretonne, vers 27°). Puis lever du camp.
On recharge le bateau.
Direction le lagon bleu, où on laisse le couple.
On revient tous les chercher le lendemain, on en profite pour y passer une journée de farniente.
Le lendemain, en route vers de nouvelles aventures. Avec Yayo, nous louons les services d'un guide/chauffeur avec un gros 4x4 land cruizer.
Après un peu de route dans des paysages désertiques, nous retrouvons le canyon.
C'est toujours très impressionnant, et on retient toujours nos ados qui aiment braver le danger.
Au bord, des Afars vendent des objets taillés dans la pierre ponce (on achète un téléphone prortable à Marie), et des pierres (obsidiennes, gypse...).
En chemin, on aperçoit des antilopes, il suffit de klaxonner pour qu'elles prennent la pose.
Et un arbre réputé millénaire: le dragonnier.
L'arrivée sur le lac Assal est toujours auusi magique. Ca commence par les sources chaudes.
On ne peut y mettre la main!
Ensuite baignade à flotaison maximum.
En route vers la région volcanique, nous passons à côté de toukouls Afars.
On déjeune au Goubet. Marie & Max vont visiter la passe aux requins.
Nous repartons après le picnic, dans l'étrange région volcanique.
Un trou dans le sol expulse un air brûlant.
Charles-Alexis découvre un crâne de vache desséché et blanchi par le soleil.
A cheval sur 2 plaques, le pied droit en Afrique, le gauche en sur la plaque arabique.
Isabelle sauve sa progéniture de la dérive infernale et inexorable des continents.
Nous voyons aussi des ponts de lave et des tunnels naturels qui se ramifient sous le sol.
Nous rentrons après une journée bien remplie. Pleins les yeux.
Djibouti, c'est à gauche (à droite on irait à Tadjourah). Sur le chemin du retour , nous passons à Balbalah.
Le jeudi, journée au calme à Korh Ambado. Y'a plein d'ados.
Le soir nous allons dîner à The Paillote, où l'on mange du poisson yéménite.
Marie a chaud.
Le lendemain est laissée libre pour les jeunes. Le soir on dîne avec un shawarima (sandwich djiboutien ENORME).
On a aussi fait goûter à Marie les Fatira. La semaine se termine le samedi. Maxou a la permission de sécher l'après midi. Décollage le soir vers 23 heures (je passe sur l'ambiance). On aura appris le lendemain que l'avion n'a quitté Djibouiti qu'à 02h00!
En rentrant à Paris Marie retrouve les intempéries.
On a aussi fait goûter à Marie les Fatira. La semaine se termine le samedi. Maxou a la permission de sécher l'après midi. Décollage le soir vers 23 heures (je passe sur l'ambiance). On aura appris le lendemain que l'avion n'a quitté Djibouiti qu'à 02h00!
En rentrant à Paris Marie retrouve les intempéries.